Devenu un personnage médiatique incontournable, Michel Cymes veut à tout prix se protéger des affres de la célébrité. Il refuse ainsi d’être entouré de “flatteurs” qui pourraient lui faire perdre la tête comme c’est le cas de certains de ses collègues animateurs…
Chroniqueur radio, animateur télé et désormais comédien, Michel Cymes est devenu en 20 ans un acteur incontournable de la sphère médiatique. Mais celui qui est également médecin de plein exercice, est plus que jamais déterminé à garder la tête sur les épaules. Même s’il est souvent désigné lors de différents sondages commel’un des animateurs préférés des Français – aux côtés notamment de Nagui à qui il livre une bataille amicale depuis de nombreuses années -, celui qui a récemment fait ses adieux au Magazine de la santése méfie plus que tôt de la surexposition médiatique et de ses dérives.
“Les métiers médiatiques vous conduisent souvent à être entourés de flatteurs. J’ai en tête des animateurs plutôt suivis de courtisans que de collègues et je ne veux pas de ça,” a ainsi confié Michel Cymes lors d’une interview au Courrier des Cadres, sans toutefois donner le nom de ces animateurs. Pour se prémunir de telles pratiques, ce dernier mise tout sur l’amitié, la fidélité et la confiance. “Je pense qu’inconsciemment, le fait de travailler avec des gens qui sont aussi des amis est une garantie pour moi de ne pas avoir de flatteurs. C’est un milieu dans lequel on peut vous dire sans cesse que vous êtes le meilleur du monde pour vous faire plaisir et cela peut vous faire perdre les pédales,” a-t-il également ajouté.
Et de ce point de vue, Michel Cymes s’estime chanceux d’avoir su s’entourer d’amis et de collègues fidèles. “Je suis d’une très grande fidélité. Je ne peux travailler qu’avec des personnes en qui j’ai une totale confiance et je n’ai rencontré que des personnes qui ne l’ont pas trahie. (…) La plupart des personnes avec lesquelles je travaille sont mes amis. (…) Même chose avec Adriana Karembeu, aujourd’hui, nous sommes presque plus amis que collègues. Et j’ai besoin de ça. Je ne peux pas travailler dans le conflit, la neutralité ou l’indifférence,” a aussi déclaré Michel Cymes.
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