L’humour anglais enfin décrypté

Des chercheurs anglais ont bombardé 14 volontaires deblagues anglaises de deux types : phonétiques ousémantiques. Les premières qui sont des calembours oudes jeux de mots activent une région du cerveauimpliquée dans le traitement des sons, le cortexpréfrontal gauche. Pour les secondes qui jouent plus sur lesens des mots, c’est le lobe postérieur gauche qui estactivé. Mais quel que soit le type de plaisanterie, unemême zone du cerveau s’active si la blague fait mouche: le cortex préfrontal médian. Cette régionreprésente la composante affective de l’humour ; ellea déjà été mise en évidencecomme étant associée à une récompenseet à l’affect. Ces découvertes nouspermettront-elles de nous réconcilier avec l’humouranglais ?…
Source : Nature Neuroscience, March 2001 Volume 4Number 3 pp 237 – 238Click Here: cheap all stars rugby jersey