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Depuis bientôt cinquante ans, les journalistes qui souhaitent suivre les déplacements du président de la République, doivent passer par Evelyne Richard, une femme au très fort caractère pour laquelle l’Elysée n’a aucun secret.
Avec l’arrivée d’Emmanuel Macron à l’Elysée, ce sont pléthore de nouveaux visages qui ont fait leur entrée sous les ors du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré. Une garde rapprochée présidentielle qui cinq années durant, va agir dans l’ombre épaulée par Evelyne Richard qui en connaît les moindres recoins.
Car cela fait depuis le mandat de Georges Pompidou que cette désormais septuagénaire, s’incarne comme la bonne fée des présidents. Une femme inconnue du grand public, relais essentiel entre l’homme le plus puissant de France et la presse, qui refuse de donner toute interview : « Pour vivre heureux, vivons cachés », consent-elle juste à dire au site Planet.fr.
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Mais le site a tout de même fait son enquête sur celle que Philippe Goulliaud, rédacteur en chef du service politique du Figaro, surnomme « L’impératrice de l’Elysée ». L’occasion d’apprendre que c’est « au sortir de la faculté qu’elle a fait son entrée à l’Elysée, sous Georges Pompidou, dont elle avait soutenu la candidature à la présidentielle » ; que son rôle est de « gérer » les journalistes accrédités pour les déplacements présidentiels ; ou bien encore « qu’un politique, un policier, tout le monde peut se faire remettre à sa place ! », par cette femme « à la très grande autorité », toujours dixit Philippe Goulliaud.
À Planet.fr d’expliquer alors que « c’est sans doute parce qu’elle ne s’est jamais laissée marcher dessus dans ce milieu d’hommes – encore plus sous l’ère Pompidou – qu’Evelyne Richard est encore en poste ». Et de rapporter une fois encore les propos du rédacteur en chef du service politique du Figaro : « À chaque élection, on a cru qu’elle partirait, et depuis Pompidou elle est encore là ! ». Philippe Goulliaud, qui voit en elle une femme « loyale » et dotée d’un « grand sens de l’Etat ».
Une vie passée dans le secret des dieux sans jamais les trahir que François Hollande a tenu à honorer le 9 décembre 2014, en lui remettant les insignes d’officier de la Légion d’honneur, la comparant à un « monument » de l’histoire du palais présidentiel.
Un « monument » qui, toujours selon Philippe Goulliaud, devrait clore sa vertigineuse carrière élyséenne à la fin du mandat d’Emmanuel Macron. Elle emportera alors un tas d’anecdotes promptes à faire pâlir d’envie n’importe quel historien politique car, toujours selon le journaliste du Figario, Evelyne Richard n’aurait pas l’intention d’écrire ses Mémoires.
Macron serre la main d'Evelyne Richard, maintenant il est président pic.twitter.com/hf4QfcTpyW
— Jean-Baptiste Garat (@Figarat) May 8, 2017
#instantané le Président @fhollande décore "notre" Evelyne #Richard de la légion d'honneur à l ' @Elyseepic.twitter.com/JEklRzl4Cx
— Ludovic Marin (@ludovic_marin) December 9, 2014