VIDÉO – Philippe Lellouche : cette scène de télévision qui a fait pleurer son fils Sam

Difficile de discerner fiction et réalité lorsqu’on a à peine 1 an. Alors qu’il était petit, Sam, le fils de Philippe Lellouche a été quelque peu traumatisé lorsqu’il a découvert son père à l’écran. Découvrez cette scène qu’il aurait préféré ne jamais voir.

Mourir sur petit ou grand écran n’est jamais une partie de plaisir pour un acteur. Beaucoup se sont cassés les dents sur cet exercice difficile. Le titre de la fausse mort la plus ratée revient sans hésiter à Marion Cotillard dans le très noir The Dark Knight Rises. La scène de ce Batman sorti en 2012 a été immédiatement moquée dans le monde entier et, grâce notamment aux nombreux meme dont elle a fait l’objet, est aujourd’hui devenue culte. Mais, attention, la maman du petit Marcel pourrait bien avoir de la concurrence. Philippe Lellouche s’est lui aussi illustré dans la fausse mort.

Ce dimanche 23 décembre, Laurent Ruquier recevait Philippe Lellouche, Daphné Bürki et Gald Elmaleh dans Les Enfants de la télé. Et comme à chaque émission, l’animateur avait sorti les dossiers sur ses invités. Casseroles, première fois… rien ne leur a été épargné. Philippe Lellouche a ainsi été confronté à son premier rôle. C’était en 1997, à la télévision, dans la série de TF1 Une femme d’honneur avec Corinne Touzet. Des débuts dont Philippe Lellouche n’est plus vraiment fier aujourd’hui. Car pour ce rôle, le comédien a dû mourir et, il en a conscience aujourd’hui, sa prestation n’était pas des plus convaincantes.

Il y en a pourtant un qui y a cru et l’a très mal vécu :“Mon petit garçon qui avait un an, Sam, mon fils, quand il a vu cette scène, il s’est mis à pleurer. Il a vu son père à la télé et tout d’un coup, il a cru que c’était vraiment…”Les premiers pas d’un comédien sont parfois difficiles à regarder. Mais ceux de Philippe Lellouche l’ont été doublement. Pour les téléspectateurs, qui ont dû assister à sa fausse mort. Et pour son fils, qui lui l’a trouvée bien réelle et a eu du mal à s’en remettre.

Crédits photos : COADIC GUIREC / BESTIMAGE