Près de trois ans après leur toute première rencontre, Melania Trump et le prince Harry se retrouvent cette semaine en Angleterre à l’occasion de la nouvelle visite officielle du couple présidentiel américain dans le pays.
Donald Trump et son épouse Melania sont arrivés lundi en Angleterre pour une visite officielle de trois jours. Plusieurs médias outre-Atlantique voient dans ce voyage un test grandeur nature pour la First Lady américaine. Ses moindres faits et gestes vont donc être analysés. Heureusement pour Melania Trump, si certaines tensions risquent de se faire ressentir entre le duc de Sussex et le président Trump, le prince Harry et elle entretiennent pour leur part une bonne relation. Le père du petit Archie était en effet aux côtés de l’épouse de Donald Trump il y a près de trois ans, lors du tout premier voyage officiel en solitaire de la First Lady à l’étranger.
C’est en septembre 2017, huit mois après l’arrivée de son mari au pouvoir, que Melania Trump s’est rendue seule au Canada pour représenter le pays à la bannière étoilée. Venue à Toronto pour assister à la troisième édition des Jeux Invictus, la mère du jeune Barron Trump a eu l’occasion de rencontrer le prince Harry et de passer du temps en sa compagnie. Loin de porter un jugement hâtif sur la première dame américaine, le prince s’est montré attentionné tout au long du séjour et les deux envoyés ont semblé rapidement s’entendre. La First Lady affichait alors un sourire radieux. Le passage de Melania Trump en Angleterre cette semaine marque donc les retrouvailles symboliques de ce duo inattendu.
Durant la visite du couple Trump, les relations risquent cependant d’être moins chaleureuses entre le prince Harry et Donald Trump. Le président américain a en effet multiplié les faux-pas diplomatiques avant sa venue. S’il avait déjà de bonnes raisons de se retrouver dans le viseur du jeune prince suite aux propos grivois qu’il avait prononcés il y a des années au sujet de Lady Diana, Donald Trump a rajouté une couche peu de temps avant son départ pour l’Angleterre. Au cours d’une interview avec le média The Sun, le POTUS aurait en effet déclaré que Meghan Markle était “nasty“. Un terme anglais, subtil mélange de méchante et mauvaise. Il n’est donc pas certain que le prince Harry soit dans les meilleurs prédispositions pour accueillir le successeur de Barack Obama.
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